La 29ᵉ édition du Festival panafricain du cinéma et de la télévision de Ouagadougou (FESPACO) s’est achevée le 1ᵉʳ mars 2025, consacrant le Burkina Faso comme l’un des grands vainqueurs de cette biennale du cinéma africain. Les réalisateurs burkinabè ont raflé une majorité des prix spéciaux, témoignant de la vitalité et de l’excellence de leur cinéma.
Parmi les lauréats, Dani Kouyaté s’est distingué avec son film « Katanga, la danse des scorpions », remportant plusieurs distinctions, dont le Prix Sembène Ousmane de la Fondation Ecobank et le Prix spécial du Fonds de développement culturel et touristique.
Michel K. Zongo a également été récompensé pour son documentaire « L’homme qui plante les baobabs », obtenant notamment le Prix spécial de la Chambre de Commerce et d’Industrie du Burkina Faso pour la promotion du secteur privé.
D’autres talents burkinabè ont été mis en lumière, tels qu’Alidou Badini pour « Yikian » et Delphine Yerbanga pour « Une si longue nuit », illustrant la richesse et la diversité du cinéma national.
Le FESPACO 2025 a ainsi confirmé la place prépondérante du Burkina Faso sur la scène cinématographique africaine, célébrant des œuvres qui reflètent les réalités et les aspirations du continent.
Horossi
