Le ministère de l’Enseignement supérieur a annoncé une réforme majeure visant à renforcer l’équité et la qualité dans le système éducatif burkinabè. Désormais, tous les étudiants inscrits dans les établissements privés, Licence, Master et Doctorat, composeront aux mêmes examens nationaux, organisés directement par l’État.
Cette nouvelle orientation marque une étape décisive pour harmoniser les standards académiques entre le public et le privé, et offrir aux apprenants des diplômes plus crédibles et compétitifs sur le marché de l’emploi.
Une réforme qui renforce l’équité entre les étudiants
Selon le Pr Adjima, cette mesure permettra de garantir que « les produits issus de nos systèmes éducatifs sont véritablement de qualité et compétitifs ».
Elle répond aussi à une préoccupation majeure : l’égalité de traitement entre les étudiants, quel que soit leur établissement.
Dans certains domaines sensibles comme les sciences de la santé, chaque passage de niveau, de la première à la dernière année, sera soumis à un examen national unique, gage de rigueur et d’excellence.
Une opportunité pour les jeunes et pour le leadership féminin
Cette réforme ouvre de nouvelles perspectives, notamment pour les jeunes filles et femmes engagées dans les filières académiques, en leur offrant un système plus juste, transparent et basé sur la performance.
Elle s’inscrit dans la vision d’un enseignement supérieur inclusif, où chaque talent, féminin ou masculin, peut s’épanouir sur des bases équitables.
Un pas important pour l’avenir du Burkina Faso
Avec cette transformation, le Burkina Faso confirme sa volonté de moderniser son système éducatif, d’élever ses standards académiques et de préparer une génération d’étudiantes et d’étudiants mieux outillés pour relever les défis du pays.
Ensemble, faisons bouger les lignes.
Vivement le meilleur pour le Burkina Faso.
