Bobo-Dioulasso : le Chef de l’État inaugure Burkina Cajou, moteur industriel, économique et créateur d’emplois

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À Bobo, le Président du Faso lance Burkina Cajou, nouvelle vitrine de l’industrie de l’anacarde.

‎Bobo-Dioulasso, le Président du Faso inaugure « Burkina Cajou », symbole de transformation industrielle et d’emplois.

Bobo-Dioulasso, 20 décembre 2025.

Le Président du Faso, Chef de l’État, Capitaine Ibrahim Traoré, a procédé ce samedi à l’inauguration de Burkina Cajou, une usine de transformation de noix d’anacarde implantée dans la zone industrielle de Bobo 2010.

« Burkina Cajou » inaugurée : 1 700 emplois annoncés, une nouvelle opportunité pour la jeunesse.

Ce projet industriel est l’aboutissement d’un rêve porté par Madame Masso SO/TRAORÉ, promotrice déterminée, qui a dû surmonter de nombreux obstacles avant de voir se concrétiser son ambition : transformer localement la richesse nationale.

Le Chef de l’État accompagne les projets créateurs de valeur et d’emplois.

« Au-delà de mon histoire personnelle, il y avait une conviction plus grande : notre pays mérite mieux que d’exporter ses richesses à l’état brut », a-t-elle déclaré, saluant le soutien décisif du Chef de l’État.

Masso SO/TRAORÉ, leadership féminin affirmé dans l’industrie de l’anacarde.

Un appui stratégique de l’État
Face aux difficultés rencontrées par le projet, le Président du Faso explique avoir décidé d’« accompagner l’initiative avec les instruments de l’État ».
Au total, 25 % du financement a été assuré grâce à l’appui combiné :
du Conseil burkinabè des Filières agricoles (CBFA),
du Fonds Dumu Ka Fa,
du Fonds burkinabè de Développement économique et social (FBDES),
et de la Banque commerciale du Burkina (CBC).
Une capacité industrielle ambitieuse
Dotée d’équipements de dernière génération, Burkina Cajou affiche une capacité annuelle de 150 000 tonnes de noix d’anacarde transformées, faisant de l’usine un levier majeur de transformation locale.

Un investissement de 9,743 milliards FCFA pour Burkina Cajou, générant 1 700 emplois et dynamisant l’économie locale et l’insertion des jeunes.

Avec un coût d’investissement de 9,743 milliards de FCFA, le site prévoit la création de 1 700 emplois directs et indirects, un impact majeur pour l’économie régionale et pour l’insertion des jeunes.

Serge Gnaniodem PODA, déterminé à faire de l’industrie un levier économique majeur.

Un choix stratégique pour la souveraineté économique
Le Ministre du Commerce, de l’Industrie et de l’Artisanat, Serge Gnaniodem PODA, a rappelé que l’anacarde constitue désormais l’une des filières stratégiques du Burkina Faso, au cœur des politiques industrielles et d’exportation.

Le Chef de l’État, engagé pour une économie forte et un Burkina souverain.

Insistant sur la nécessité de valoriser les productions nationales, le Chef de l’État a appelé les acteurs du secteur à revenir vers la transformation locale, assurant que l’État se tient prêt à accompagner toutes les initiatives créatrices de valeur ajoutée.
« Tous ceux qui sont dans l’exportation doivent revenir dans la transformation », a-t-il martelé, au nom de l’emploi, de la richesse nationale et de la souveraineté économique.

Le Chef de l’État impulse l’industrialisation, la transformation locale et la création d’emplois

FasoAmazone.net

Source: Direction de la Communication de la Présidence du Faso

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