Audience accordée au directeur général de la rencontre annuelle de l’investissement par le premier ministre burkinabè.
Cet après-midi de 24 octobre 2017 à la primature, le premier ministre Paul Kaba Thiéba a reçu en audience Walib Farghal, directeur général de la rencontre annuelle de l’investissement prévue pour se tenir du 09 au 11 avril 2018.
« Présenter au ministre la rencontre annuelle pour l’investissement qui a lieu chaque année à Dubaï », c’est l’objet de la visite de Walib Farghal ce mardi 24 octobre 2017 à la primature.
Cette rencontre d’après lui, a permis également de demander la permission au ministre afin qu’il puisse inviter les porteurs de projet de l’Etat burkinabè qui travaillent dans plusieurs domaines notamment l’agriculture, l’élevage, l’énergie et le tourisme et également d’autres projets à venir présenter leur projet à cette rencontre qui aura lieu à Dubai en avril.

Et c’est favorablement que le ministre Paul Kaba Thiéba a répondu à cette invitation. « Par chance nous venons d’apprendre que le Burkina a répondu présent à l’expo qui aura également lieu à Dubaï en 2020. Donc nous serons comptant de les accueillir en 2018 et en 2020 » déclare-t-il. Il faut dire que l’intérêt du Burkina Faso à participer à cet événement d’après Walib Farghal est très capital par ce que le Burkina est un pays enclavé et il se trouve au milieu de plusieurs d’autres pays. Chose qui intéresse les investisseurs qui s’intéressent à ces zones pour investir dans plusieurs domaines et pouvoir servir plus d’une centaine de millions en termes d’investissements. « Dans le monde des affaires et des investissements pour les pays étrangers il est important de travailler avec le secteur privée. Aucun investisseur ne va venir travailler avec le gouvernement seul, il aimerait que cela soit associer avec des porteurs de projet pour que le projet se développe encore mieux mais ce n’est pas que le gouvernement n’est pas la capacité de développer un projet au contraire le gouvernement facilite le mode d’investissement mais il est aussi important de travailler avec le secteur privée » conclut-il.
Hamadou Ouedraogo