SIAO 2018: Les exigences du marché en réflexion

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Le salon international de l’artisanat de Ouagadougou a ouvert le lundi 29 octobre 2018 à Ouagadougou le séminaire sur le thème &artisanat africain, exigences du marché et développement technologique&. Le ministre du commerce, de l’industrie et de l’artisanat, Arouna Kaboré a ouvert les hostilités.

Les acteurs du département en charge du développement numérique et des technologies; du commerce, de l’artisanat et de la formation professionnelle, de l’entrepreneuriat, des consulats, des organisations professionnelles d’artisans et leurs structures d’encadrement et d’appui, etc, prennent part du 29 au 31 octobre 2018 à Ouagadougou a un séminaire sur le thème du SIAO 2018 <<Artisanat africain, exigences du marché et développement technologique>>.

Plusieurs sous-thèmes tels que <<Nouvelles technologies, facteur de différenciation et de compétitivité dans la conquête de nouveaux marchés>>; <<Artisanat africain et capacité des artisans et entreprises artisanales à l’exportation; <<rôle des TICS dans la consolidation du commerce intra-africain et international: quelles contributions face aux exigences des marchés>>; <<Artisanat, exigences du marché et développement technologique, expérience du Centre international de l’artisanat du Cameroun>> et <<Artisanat africain, exigence du marché et développement technologique : Expérience du village artisanal de Ouagadougou>> seront développes pendant ces trois jours de séminaire

Pour le ministre du commerce, de l’industrie et de l’artisanat, Arouna Kaboré qui a par ailleurs ouvert ledit séminaire, a fait savoir que l’objectif est d’établir un diagnostic sur les contraintes, les capacités ou le potentiel de contribution des nouvelles technologies à l’accès aux différents marchés surtout internationaux et mettre en lumière un système alternatif conséquent de production et de comportement des acteurs du secteur.

Une photo de famille

Pour ce faire a poursuivi le ministre Kaboré, les travaux devront faire un état des lieux des initiatives de bonnes pratiques en termes d’accès au marché international, susciter la réflexion sur la compréhension des caractéristique du marché international de l’artisanat, contribuer à comprendre la position concurrentielle de l’artisanat africain dans le contexte régionalisé du commerce.

Selon M. Kaboré l’artisanat africain doit <<nourrir son homme>> et assurer aux artisans et artisanes un meilleur devenir.

Amélie ZONGO/www.fasoamazone.net

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