1er anniversaire de FasoPic: L’Association outille des journalistes sur le MOJO

0
1355
A l’occasion de son premier anniversaire, le groupe FasoPic a initié une formation à l’endroit des journalistes des provinces et des régions sur la pratique du journalisme, appelé MOJO. L’objectif de cette formation consiste à outiller ces hommes de medias aux nouveaux outils technologiques afin de leur permettre d’être beaucoup plus efficace dans leur travail au quotidien. C’était le vendredi 5 avril 2019,  à Ouagadougou.
Les partipants à cette formation
L’association FasoPic a un an. Et à cette occasion, le groupe a organisé une formation à l’intention des journalistes des provinces et régions du Burkina sur la pratique du Mojo. « Cette formation Mojo a été faite dans le cadre du premier anniversaire des activités de FasoPic. C’est une formation qui permet d’outiller les journalistes, qui sont nos potentiels partenaires, aux nouveaux outils technologiques afin de leur permettre d’être beaucoup plus efficace dans leur travail au quotidien », a expliqué Lassane Ouédraogo, le secrétaire général de l’Association Fasopic.
Lassané Ouédraogo, Secrétaire général de FasoPic
Venus des quatre coins du Burkina, en une demi-journée, la quarantaine de journalistes ayant participé à cette formation a échangé autour du thème, « Journalisme à l’épreuve du numérique : MOJO : techniques et usages ». Les participants ont pu donc  à travers cette formation, se familiariser avec les concepts du MOJO et sa place dans la pratique du journalisme.
Selon le secrétaire général de FasoPic, avec les nouvelles connaissances acquises, les hommes de médias pourront utiliser des outils mobiles à moindre coût et à tout instant qui vont leur permettre d’exécuter au mieux leur tâche. « Ce sont des outils qui ne coutent pas chers et qui permettent de faire des reportages de bonne qualité à moindre coût », a-t-il indiqué. « La formation a également permis d’initier les participants aux techniques de prise de vue avec les smartphones », ajoute-t-il.
Cette formation est une concrétisation d’une des missions de l’association Fasopic à savoir « proposer des formations sur la prise de son, le cadrage, le montage vidéo, la post-production, la rédaction pour WordPress, la création multimédia ».
Et on peut le dire, en un an de présence sur la scène médiatique, l’Association Fasopic a engrangé des acquis et ce ne sont pas les moindres.  « Fasopic en tant que plateforme de média digital, un an après, nous sommes présents sur tous les canaux de diffusion que nous avons mis en place, notamment le site web, la page facebook, le groupe whatsApp, le compte YouTube et nous sommes également présents sur tweeter », a indiqué le rédacteur en chef de Fasopic, Bernard M’Pampé Hien.
Et selon lui, le bilan en un an  de présence sur le terrain n’est pas à négliger. « En terme de bilan, nous recevons plus de 1000 visiteurs par semaine sur le site Fasopic. Nous sommes à près de 200 000 abonnés sur la page facebook, 500 abonnés sur tweeter et également 500 personnes qui nous suivent via Fasopic new et également à travers le logiciel whatsApp », se réjoui Bernard Hien.
Les participants quant à eux, ont salué la formation à sa juste valeur. Ils repartent ainsi avec des attestations et bien d’autres choses. Pour le secrétaire général de FasoPic, cette formation est le début d’une série de formation qui va se faire chaque trimestre à l’endroit des hommes et femmes de médias.
En rappel, Fasopic est une plateforme de communication multimédia qui permet de distiller des informations, des images, du son et c’est aussi une plateforme qui a un éditorial qui est de faire en sorte que l’information permette de construire un Burkina apaisé et prospère. Son objectif selon son premier responsable est que c’est une plateforme de communication digitale. Il consiste aussi à donner des connaissances dans le domaine de la communication, surtout les outils innovants.
K.AM

www.fasoamazone.net 

LAISSER UN COMMENTAIRE

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.