1 500 tonnes de vivres au profit de 9501 ménages de la région du centre(Ouagadougou). Le geste est du ministère en charge de la solidarité nationale et de la famille qui entend venir en aide aux personnes démunies. Cet acte s’inscrit dans le cadre d’une campagne de remise de vivres aux personnes vulnérables dont le lancement officiel a eu lieu ce 28 avril à Ouagadougou par Laurence Ilboudo, himself.
C’est devenu une tradition au ministère de la femme, de la solidarité nationale, de la famille et de l’action humanitaire. Comme chaque année, le département de Laurence Ilboudo vient en aide aux personnes démunies de la région du centre. Cette année encore, le ministère en charge de la solidarité nationale ne s’est poas fait attendre. Il a procédé ce mardi 28 avril 2020 au lancement officiel de la campagne de remise de vivres aux personnes vulnérables de la région du centre. Ce soutien à concerné les zones de Ouagadougou, à savoir, Boulmiougou, Sig-nonghin, Nongremasson, Saaba.
Ce sont au total 9 501 ménages repartis sur 25 sites, avec un nombre complet estimé à 77 000 personnes qui ont bénéficié chacune, de 2 sacs de maïs et 1 sac de riz, ce jour, grâce au ministère de la femme, de la solidarité nationale, de la famille et de l’action
Ce geste faut-il le dire rentre dans le cadre des mesures sociales d’accompagnement entreprises par le Président du Faso Roch Marc Christian Kaboré, pour atténuer un tant soit peu la souffrance des personnes impactées directement par les mesures restrictives prises, dans le but de venir à bout de la pandémie de la maladie à Coronavirus.
Selon la ministre de la femme Marie Hélène Laurence Ilboudo/Marchal, la distribution va concerner les zones les plus touchées par le COVID-19. Ce qui signifie que des ménages d’autres villes bénéficieront aussi du soutien du gouvernement. Les vivres à l’écouter, vont permettre de lutter contre la crise alimentaire ainsi que la malnutrition que l’on connait déjà. « C’est donc un programme de solidarité nationale mis en place pour aider les populations touchées par la maladie », a-t-elle fait savoir.
Anaëlle K.
