
La présidente de l’association pour le développement des femmes leaders du Burkina(ADFL-B), madame Nikièma/Zangré Fatima, a fait un décryptage sur la situation socio-politique du Burkina. De la sécurité à l’économie en passant au développement les signaux sont au vert. Elle en appel aux Burkinabè au sens du patriotisme de l’humanisme et de loyauté. Une équipe de reportage de votre médias en ligne « FasoAmazone.net« , est allée à sa rencontre.
Évoluant dans l’informel (confection et vente du pagne Konko donda), madame Nikiema née Zangré Fatima, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, la quarantaine bien sonnée, approuve et se reconnaît dans la gestion du pays par le régime du MPSR2, avec à sa tête le capitaine Ibrahim Traoré.
Le pays des hommes intègres jadis un havre de paix, une nation d’une hospitalité légendaire et une destination glorieuse, à vu sa côte de paix et de quiétude baissée. « l ya de cela huit(8) ans avec la survenue de l’avènement du terrorisme », selon madame Nikièma.
Arrivé au pouvoir le 30 septembre 2022, le capitaine Ibrahim Traoré et ses hommes sont entrain de réinstaller le prestige du Burkina Faso.
À la tête de l’association pour le développement des femmes leaders, militante du mouvement « le Faso ma patrie », et membre active de la « CNAVC » la Coordination nationale des associations de la veille citoyenne, madame Nikièma n’est pas passée du dos de la cuillère pour apprécier la lutte contre l’insécurité.
Les vaillants soldats ont pris le contrôle du terrain. Ils enregistrent chaque jour des victoires et les défaites infligent aux ennemis des coups durs, le ravitaillement des zones à fort défis sécuritaire, etc. Cela au quotidien, et la réinstallation des populations déplacées poursuit son bonhomme de chemin.
« nous sommes persuadés qu’avec ces exploits, la paix fera son trône au Burkina et c’est dans un futur très proche », a laissé entendre la présidente de l’association « ADFL-B ».
Dans la même lancée, elle félicite le président du Faso de sa politique sécuritaire. Comme le dit un dicton africain: »on ne peut attraper un requin avec un hameçon », et cela pour apprécier l’équipement des FDS et VDP et globalement l’acquisition de matériels de combats par l’armée.
La sécurité et la paix sont deux faces d’une même médaille. Et sur le volet développement, la présidente de l’association pour le développement des femmes leaders, trouve que les signaux sont au vert. Elle en veut pour preuve la dotation des coopératives et la mise à la disposition des communes des matériels agricoles.
Les récentes distribution des semences et intrants agricoles dans le cadre de l’offensive agro-pastorale, illustre à souhait que le Président du Faso a pris la lutte contre l’insécurité alimentaire une priorité. »Nous saluons le lot de matériels agricoles reçu par nos braves agriculteurs, « vous savez c’est la faim et le chômage qui ont fait que l’achat de conscience se faisait à ciel ouvert dans notre pays », a-t-elle renchérit.
L’éducation est la clef de voûte de tout développement et l’ancien président Sud Africain Nelson Mandela disait ceci : « l’éducation est l’arme la plus puissante pour changer le monde ».
Et qui mieux que la femme en tant que mère de l’humanité pour enseigner des valeurs de l’humanité aux tous petits. C’est pourquoi madame Nikièma et d’autres membres de son association comptent les prochains mois à venir sillonner dans les établissements pour sensibiliser les jeunes sur les notions de respect, de travail, d’amour, paix et entraide entre autres.
Pour finir la bataille de souveraineté nationale étant lancé par le président du Faso, le capitaine Ibrahim Traoré, madame Nikièma née Zangré Fatima lance un vibrant appel au Burkinabè épris de paix de sécurité et de développement à adhérer à la dynamique: « j’en appelle aux Burkinabè à mettre de côté leurs intérêts personnels et mettre l’accent sur la libération et le développement de notre beau pays le Burkina Faso », pensons de quel Burkina nous voulons léguer à nos enfants et petits enfants , et je suis convaincue que chacun de nous veut laisser un Burkina de paix et de prospérité aux futurs générations». « Donc pour cela soignons d’or et déjà des apôtres de la paix des disciples de la cohésion et les acteurs majeurs du développement » a t’elle conclu.
Pascal K.