La route du quartier Dassagho, dans l’arrondissement dix (10) menant vers l’école Cefise Benaza présente un visage peut reluisant. Quasiment impratiquable.
Quant bien même qu’elle ne soit longue, cette route pour l’emprunter, est devenue un casse téte, pour les riverains et les usagers. À l’emprunter il faut user de maladresse
Le bitume a disparu, laissant une route cahoteuse. Les riverains du quartier Dassagho subissent des calvaires, des angoisses. A vue d’oeil, elle fait froid au dos, donne des sueurs froides. Bref pour circuler , il faudrait une dose de courage supplémentaire.
De loin comme de près, les trous immenses sont visibles sur le tronçon, lesquels trous stagnent une grande quantité d’eau, dans le ca’niveau, qui s’est fortement dégradé depuis des années sans aucun recours, malgré les plaintes et récriminations, des sos, des interpellations, aucune action d’envergure n’est été entreprise, par qui que ce soit, ni les riverains eux mêmes, ni les autorités, ni les entrepreneurs, etc…
Si ce état désolant de la route s’explique par l’inactivité de la municipalité, Il ne faut pas dédouaner la population de ce quartier, où certaines personnes se donnent à cœur joie d’aller jeter les ordures ménagères et autres déchets à côté où même parfois sur une bonne partie sur la route.
Des attitudes qui montrent que le manque de don de soit sur la protection, la défense et la gestion de l’environnement des édifices publics, se posent toujours avec acuité et la ville de Ouagadougou (capitale) ne fait pas exception.
En entendant que la municipalité où les services du département des infrastructures se penchent sur la question pour redorer le blason de cette route, afin de faciliter la mobilité urbaine des Ouagavilois.
Il faut aussi que nos concitoyens changent de comportement, adoptent des comportements responsables et citoyens
L’ assainissement de nos villes est une question de tous, peu importe ton grade ton statut, ta classe sociale, appliques toi pour une ville propre et saine.
Aux autorités, plus question de rappeler que » le développement passe par la route, et le developpement de la route mêne au developpement », selon un penseur.
Car ne dit ,-on pas. « la politique, « c’est de prévoir., d’ étre visionneur », « de rêver grand. ». Donc des infrastructures de qualité sont attendues pour le bonheur des populations.
Pascal K.