Le réseau ouest africaine pour Le Réseau Ouest Africain pour l’édification de la paix « WANEP » Burkina Faso, en partenariat avec l’ONU femmes, renforce la capacité des femmes, sur leurs droits, devoirs et leur rôle sur la recherche de la paix et de la sécurité, à travers un plan de plaidoyer National et régional.
Un plan confirmer et valider du 10 au 12 septembre, 2024, l’ors d’un atelier à Koudougou.
La contribution de l’autre moitié du ciel au développement du Burkina Faso n’est plus à démontrer.
Dans plusieurs secteurs d’activités ,la femme joue un rôle important pour le rayonnement du pays.
La femme burkinabè reste une actrice inévitable pour le développement du pays,
Elle a toujours su apporter un coup de pouce nécessaire pour l’amélioration des conditions de vie des populations et partant de là, le développement.
Ce pendant beaucoup de maux fragilisent sa participation honorable pour un réel développement de nos pays.
Aux nombres de ces difficultés il ya l’épineuse question ,à savoir la non représentativité des femmes dans les sphères de décision, leurs nombre insuffisantes sur la scène politique et d’autres problématiques qui réduisent leur émancipation.
Des problèmes qui alertent et qui engagent les organisations féminines et les femmes leaders.
Et c’est dans cette optique, que le Réseau ouest Africain pour l’édification de la paix « WANEP » en collaboration avec l’ONU FEMMES, propose un plan de plaidoyer National et régional aux gouvernants.
Un plan qui comporte trois « 3 » axes majeures.
Le premier axe porte sur » femmes, jeunes paix et sécurité » une thématique qui demande l’implication active de la femme pour la recherche de la paix,car considéré comme la plus victime de l’insécurité.
le deuxième axe parle » participation politique des femmes » une thématique qui relance les débats sur l’absence des femmes au niveau des décisions politiques.
Le troisième axe souligne » l’autonomisation de la fille et de la femme », « ventre creux n’a point » d’oreilles » nous renseigne un dicton africain.
La misère,le chômage et le sous emplois, facilitent l’inégalité et l’iniquité des sexes.
Ce plan riche en contenu a été présenté aux participantes,suivie des communications pointues.
Il a été amendé affirmé et valider par la trentaine des participantes issues de plusieurs couches et organisations féminines.
Et pour assurer son impact et sa pérennisation,un comité de suivi a été séance tenante installer pour veiller à la mise en œuvre de ces recommandations.