Festival M’Bayiir Teedo: C’est du 31 octobre au 2 novembre 2024 à Koudougou

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FasoAmazone.net  

Élisabeth Nanema épouse Yameogo, la présidente de l’association féminine Balmwendé, nous entretient avec son festival Bayiri TEEDO, des produits locaux, qui aura lieu à Koudougou, du 31 octobre au 02 novembre 2024, à la place de la nation à Koudougou, dans le Centre Ouest, la cité du «cavalier rouge». FasoAmazone.net, média partenaire officiel de ce gigantesque festival, nous invite d’ores et déjà à être de la partie. Suivez les détails. 

Bientôt le festival Koudougou Danfani days acte 3 qui devient festival M’Bayiir Teedo pour promouvoir tous les produits locaux du Burkina Faso et de l’Afrique du 31 octobre au 2 Novembre 2024, à la place de la nation de Koudougou, sous le  thème: «Unité nationale et renforcement de sentiment d’appartenir à une nation».

Pourquoi un tel festival à Koudougou ?

La cité du cavalier rouge regorge beaucoup de potentialités, c’est de ce constat que nous voulons réunir tout le monde pour valoriser notre culture. Concernent tous les hommes et femmes, les prestataires durant tout le festival en priorisant les jeunes.
Oui, nous avons des partenaires, tels la commune de Koudougou, FasoAmazone.net, Burkina koodo, la chambre des métiers du Burkina, les autorités administratives, coutumières et religieuses,…
La particularité de notre festival est que nous valorisons tous nos produits locaux à travers des expositions, des compétitions sur le thème et un espace enfant afin de les inculquer notre culture dès la base, aussi des formations a l’intention des PDI et EDI en kokodonda et éducation financière.

Des attestations à tous les prestataires et partenaires 
Oui il y’aura des attestations de reconnaissance pour tous les prestataires.

Des difficultés, il en existent

Oui beaucoup car il n’y a pas de moyens financiers, nous surmontons cela avec les moyens de bord.

Votre mot de fin:

Merci à FasoAmazone. l’objectif est de promouvoir les talents de la femme, de la jeunesse, de tout le peuple africain afin d’être autonome. Cela procure la paix, la cohésion sociale, la solidarité entre les communautés et l’effort des femmes pour un meilleur vivre ensemble.

Interview réalisé par Horossi

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