Les travaux d’aménagement et d’élargissement sur la RN4, sortie Est de Ouagadougou, avancent bien grâce aux revendications des étudiants de l’Université Thomas Sankara et des populations riveraines. Cette initiative, saluée par les habitants de Gampela, Bargho , Nioko 1, Sig noghin, Nagreongo, etc, vise à réduire les accidents sur cette voie dangereuse, qui relie 4 pays frontaliers., Burkina Faso, Niger, Benin, Togo
Les machines ont commencé à vrombir le long de la RN4, à la sortie Est de Ouagadougou, marquant le début tant attendu des travaux d’aménagement et d’élargissement de cette importante voie. Les quartiers de Gampela, Bargho et Nagreongo, etc., autrefois frappés par des problèmes de sécurité routière, bénéficient désormais de ces améliorations rendues possibles grâce à une mobilisation collective.
Le projet, soutenu par les étudiants de l’Université Thomas Sankara (UTS) et les populations riveraines, fait suite à une série de plaidoyers adressés au Chef de l’État, le Capitaine Ibrahim TRAORÉ. Ces derniers ont mis en lumière l’urgence de la situation, soulignant que la RN4, notamment dans sa section Est, a été le théâtre de nombreux accidents graves, causant des pertes humaines et des dommages matériels importants.
L’initiative d’élargir et d’aménager cette voie supra-régionale vise à améliorer la fluidité du trafic et, surtout, à réduire les risques d’accidents. Les populations locales, principalement les habitants des quartiers de Gampela, Bargho, et Nagreongo, sont les premiers bénéficiaires de ces travaux. Elles avaient depuis longtemps réclamé une intervention pour sécuriser cette route, connue pour sa dangerosité et son surpeuplement en périodes de pointe.
La décision du Capitaine Ibrahim TRAORÉ, qui a écouté les préoccupations des citoyens, s’inscrit dans une volonté de modernisation et de développement des infrastructures routières du pays. Ces aménagements devraient permettre de sécuriser les usagers tout en facilitant la circulation dans cette zone stratégique, reliant Ouagadougou à d’autres régions du Burkina Faso.
Pour les étudiants de l’UTS et les résidents des zones concernées, la réalisation de ce projet est une victoire. Ils saluent l’engagement des autorités à leur écoute et espèrent que cette amélioration contribuera à la réduction du nombre de victimes sur cette voie.
Horossi