La reconnaissance de parenté ne devrait jamais être un sujet de conflit ou de honte. Chaque enfant a le droit fondamental de connaître ses parents, d’avoir une identité légale, et de grandir dans la dignité, entouré de vérité et de reconnaissance.
Refuser de reconnaître un enfant, c’est lui voler une partie de son histoire, de sa sécurité affective et de ses droits. C’est aussi méconnaître ses devoirs de parent, que l’on soit père ou mère.
La loi protège l’enfant. Elle permet à tout enfant, par l’intermédiaire de sa mère ou par lui-même à sa majorité, de faire valoir ses droits à travers une procédure de reconnaissance en justice, y compris par un test ADN.
La vérité biologique ne se discute pas. Elle se confirme. Et elle engage.
Parents, communautés, institutions : engageons-nous à défendre chaque enfant contre le rejet, le déni ou l’oubli.
Reconnaître son enfant, c’est un devoir moral, légal, et profondément humain.
