Visite du président français au Burkina Faso : le ministre des affaires étrangères, de la coopération et des burkinabés de l’extérieur informe sur l’importance de la visite.

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Le ministre des affaires étrangères, de la coopération et des burkinabés de l’extérieur, Alpha Barry en compagnie du ministre de la communication Rémis Fulgance Dandjinou.
Ce 27 novembre à 22h25 minutes précisément, l’avion du  président français, Emmanuel Macron va frôler le tarmac de l’aéroport international de Ouagadougou. En prélude de cette arrivée, le ministre des affaires étrangères, de la coopération et des burkinabés de l’extérieur, Alpha Barry en compagnie du ministre de la communication, porte-parole du gouvernement ont animé un point de presse ce 24 novembre sur l’importance de cette visite et son opportunité. Ce point de presse a été l’occasion pour les deux ministres d’apporter des réponses aux différentes préoccupations des hommes de médias.

 

Pour le ministre Alpha Barry, la visite du président français sera très bénéfique pour notre cher pays d’autant plus que « la France est l’un des plus grands pays au monde et aussi du fait que la France est un grand partenaire du Burkina. Egalement la France fait partir du G7 et du G8, c’est l’un des pays les plus industrialisés. » Le ministre informe par la même occasion  la population qu’un accord très important sera signé avec la France pour un appui au développement au profit du Burkina. Il poursuit en disant que cette visite représente une opportunité de la part du gouvernement à faire part au président Macron des nombreux problèmes auxquelles le pays est confronté notamment l’insécurité grandissante et les problèmes liés au développement. Par ailleurs il appel toute la population à réserver un accueil  chaleureux au président Macron.

Pour ce qui est de la rumeur faisant cas de manifestations de la part de certains étudiants contre cette visite, Alpha Barry répond « l’université a toujours été un lieu d’opinions divergentes, le Burkina Faso est un pays de liberté et ces personnes ont le droit de manifester, mais ce que je demande c’est que cela soit fait dans les règles sans perturbation».  il signifie aussi aux journalistes que lors de son arrivé il est prévu que le président français réponde à deux questions donc une question de la part d’un journaliste burkinabè et une autre d’un journaliste français faisant parti de la délégation des journalistes français qui seront avec le président Emmanuel Macron.

 

Frédéric TIANHOUN 

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