Fêtes de fin d’année: Rien ne vaut la vie, la prudence doit être de mise

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Les fêtes de fin d’année sont encore là. Une période marquée par une grande mobilité sur les routes dans les grandes villes du Burkina Faso. Cependant, elle est caractérisée par des accidents de circulation routière, aboutissant le plus souvent à la mort. Près de 80 % de ces drames impliquent les engins à deux roues et les jeunes sont majoritairement les plus touchés.

Accident de la circulation

Chaque année, à l’approche des fêtes de fin d’année, de nombreuses familles voient leurs fêtes de fin d’année endeuillées par un accident de la route. Pour être sûr de pouvoir souhaiter à nos proches une bonne Noël le 25 décembre et une bonne année le 1er janvier, il faut éviter certains pièges qui reviennent de façon récurrente, durant cette période, des comportements à risques à éviter tels que les excès de vitesse, le non-respect de la signalisation routière, l’utilisation du téléphone en circulation, la conduite sous l’effet de la fatigue, la conduite sous l’effet de l’alcool et autres stupéfiants, etc.

Tous autant que nous sommes, aimons faire la fête, parce que nous aimons le bonheur. Mais quel serait le bonheur si in fine, il se transforme en drame? Les fêtes de fin d’année sont des occasions de tous les excès. Sexe, alcool.., tout y passe comme si, à ces périodes-là, le soleil se lèvera au nord. Pourquoi perdre le Nord les jours de fête qui ne durent pas plus de 24 heures? Sachons raison gardée que ce jour là, la lune ne remplacera pas le soleil en plein jour. Alors, prudence!.

Pour les chauffeurs de véhicules à 4 roues, il est recommandé d’observer le port de la ceinture de sécurité et de respecter la limite de vitesse à 50 km/h en ville, d’éviter les surcharges de bagages et de passagers.

Les usagers d’engins à deux roues sont invités au port du casque, une nécessité vitale pour éviter les éventuels traumatismes crâniens en cas d’accidents de la route. Les jeunes doivent éviter de se faufiler entre les véhicules et de respecter la limite de vitesse à 50 km/h..

La route qui est un domaine public, doit être un facteur de développement et non un vecteur de chagrin et de détresse.

La prudence doit donc être de mise dans la circulation routière pour éviter les accidents et vivre ainsi longtemps.
Anaëlle K.

Fasoamazone.net 

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