C’est la date du 18 août 2020 que le Mouvement pour la renaissance du Burkina (MRB), a choisi pour investir officiellement Kam Yéli Monique, comme sa candidate à l’élection présidentielle du 22 novembre prochain. C’était à l’occasion d’une conférence de presse animée par les premiers responsables du parti à OUAGADOUGOU.
« L’Éducation », c’est ce à quoi repose le programme de première femme candidate à la présidentielle de novembre 2020 au Burkina Faso. Yéli Monique Kam, puisque c’est d’elle qu’il s’agit a été investi le mardi pour défendre vaillamment les couleurs du Mouvement pour la renaissance du Burkina à la présidentielle à veni.
A l’en croire, une refonte totale du système éducatif burkinabé est plus que nécessaire actuellement. Selon l’esprit du mouvement pour la renaissance du Burkina, si le pays fait face aujourd’hui à de multiples difficultés, c’est parce que l’éducation n’est pas de qualité.
Conscient que l’éducation est l’une des clés du développement, le MRB a décidé d’attaquer le mal par ses racines. « Le mouvement pour la renaissance du Burkina, prône une éducation de qualité, qui est à la base du développement humain durable. La racine de la mauvaise qualité de l’éducation au Burkina se trouve dans l’histoire du système éducatif dont nous avons hérité, et qui est la base du chômage massif des jeunes avec ses conséquences désastreuses que nous vivons. Seule une éducation de qualité pourra sortir le Burkina Faso du gouffre », a déclaré Yéli Monique Kam, candidate du MRB.
Pour y parvenir, le MRB compte sur l’engagement de tous les Burkinabé, pour un changement au profit de tous. « Nous avons besoin de vous pour dire et convaincre ceux qui hésitent encore qu’il est possible de remettre le pays debout en investissant d’abord dans l’éducation, la formation et la création des emplois plus décents qu’aucun gouvernement de ce pays ne l’a jamais fait. Nous avons besoin de vous pour porter le nouveau message d’espoir au peuple en implantant le MRB à travers tout le pays », a laissé entendre Yéli Monique Kam.
Anaëlle K.