Cameroun: Justice pour cette dame victime de violences conjugales

0
82

C’est  l’histoire d’une dame vivant au Cameroun avec son époux depuis il ya de cela onze(mois), qui subie des violences conjugales. Frappée, torturée, privée de son téléphone, etc.  Bref, l’enfer, c’est le lot du quotidien que vit cette dame.

Selon l’activiste N’zui Manto, dans Cameroun web, cette dernière est privée de liberté par son mari, qui pourtant avait juré de l’aimer et de la chérir dans le meilleur comme dans le pire.

Selon les témoignages, la scène se passe au quartier Nkolbisson Irad à Yaoundé, où cette femme vit les atrocités de cet  époux au quotidien. Si bien que le voisinage, les habitants se sont habitués aux pleurs et cris désespérés de la pauvre dame, victime d’atrocités au quotidien de la part de son époux, avec qui elle a juré Amour; fidélité; soutien; partage devant le Maire, le Pasteur, parents, amis et connaissances, onze(11) mois plutôt. Si rien n’et fait ces maltraitances auront raison de sa vie un jour. Selon le lanceur d’alerte N’zui Manto.

Pire il termine en disant « au Cameroun, il n’existe aucune politique sérieuse pour combattre les violentes faites aux femmes. Les plaintes déposées par de nombreuses victimes dans les brigades ou commissariats n’aboutissent jamais ».

A lire aussi:

https://www.fasoamazone.net/2023/12/20/violences

Jusqu’à quand cela va prendre fin?, ya til pas de justice pour les femmes qui vivent ces genres de violences de cauchemars au quotidien? , vivement que les défenseurs des droits de l’homme se penchent  rapidement sur la question.  Qu’une solution diligente  soit trouvée pour tous ces dossiers brulants, afin que ces femmes puissent jouir de leur droit légitime, qu’est la vie, la liberté, épanouissement dans leur couple et milieu de vie.

Violences basées sur le genre(VBG), faites aux femmes et aux filles, violences sexistes

Au Burkina Faso, le Collectif des Féministes(CFBF), a dans le cadre des 16 jours d’activistes(25 novembre au 10 décembre 2023), a élaboré des messages et publier dans les médias afin de  sensibiliser l’opinion nationale face aux dérives et dangers des violences conjugales, des violences basées sur le genre(VBG), des violences sexistes. Les VBG, sont une violation des droits humains, des pires formes et les plus répandues. Elles perturbent la paix, la stabilité; la quiétude dans les familles et plombent l’économie. Il faut la prévention et investir dans les organisations des défenses des droits humains des femmes et des jeunes filles, avec le soutien de l’Etat.  Bannir les VBG, c’est investir dans la pérennité de l’humanité. Selon Mariam Lamizana, la Coordonnatrice du CFBF, le 18 décembre 2023 à Ouagadougou.

Nelessi

FasoAmazone. net

LAISSER UN COMMENTAIRE

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.