Le Canal Olympia Ouaga 2000 accaeillira KAYAWOTO et SUSPECT 95 de la Côte d’Ivoire le 2 octobre 2021 pour un grand concert. Ces deux artistes promettent donner le meilleur d’eux-mêmes pour faire vivre les mélomanes Burkinabè. L’information a été donnée ce mardi 17 aout 2021 au cours d’un point de presse à Ouagadougou.
GO AFRICA organise un grand concert le 2 Octobre 2021 à Canal Olympia Ouaga 2000 à partir de 20 heures précises.
Pour ce premier lancement, le roi de Maolande KAYAWOTO artiste burkinabè a bien voulu associer l’image de l’artiste ivoirien SUSPECT 95 à ce grand évènement.
Deux artistes qui évoluent dans de sites differents promettent de faire vivre les mélomanes Burkinabè pour couronner la fin des vaccaces.
Un évènement spécial selon SUSPECT 95 qui a accepté afficher son image à ce concert. « Le Birkina Faso est pays frère avec la Côte d’Ivoire et les burkinabè ont beaucoup fait pour moi. Ce cadre est une occasion pour moi d’exprimer ma reconnaissance envers les Burkinabè« , a affirmé SUSPECT 95. Pour lui, l’artiste KAYAWOTO est un artiste qui a l’odace de casser les standars. « KOYAWOTO est quelqu’un que j’apprécie beaucoup. Il est venu donner une autre couleur au rape bukinabè et moi je pense que cela est parfait« , a-t-il souligné.
Le concert va se jouer sur de sémi-live pour les deux artistes.
Selon le directeur général de GO AFRICA, Abdoul R. Sankara, quelques artistes seront invités pour accompagner ces deux artistes. « C’est une grande fête, ce n’est pas un concert ordinaire. Mais c’est seulement ceux qui vont payer le ticket qui veront ce qui va se passer le 2 Octobre« , a précisé M. Sankara. KAYAWOTO invite les burkinabè à sortir massivement pour faire le show. « Les mélomanes ont l’habitude de voir KAYAYOTO seul sur scène mais le 2 octobre ce sera la Côte d’Ivoire et Burkina Faso. Nous allons donner le meilleur de nous-mème. « , a promi KAYAWOTO. Les tickets sont disponibles au prix de 2 000F CFA, 5 000F CFA et 7 000F CFA.
Après le Burkina, un autre concert est prévu de tenir au palais de la culture d’Abidjan en début janvier 2022.
Jeanne Z. Laya
