La capitale du Burkina Faso s’étend et le nombre de la population ne cèsse de s’augmenter. Cette augmentation de la population affecte tous les domaines, d’autant que la circulation routière n’en fait pas exception. Elle est plus ressentie dans les grandes villes et Ouagadougou est l’un des exemples parmi d’autres où l’étroitesse de certaines voiries cause beaucoup d’accidents. C’est le cas de la route nationale numéro 3, celle de Nioko 1, allant jusqu’à la sortie Est de Ouagadougou – Zorgho. L’étroitesse de cette voie entrave la circulation, conduisant souvent à des accidents graves.
Depuis quelques années, le nombre d’habitants de Ouagadougou ne fait que s’accroitre. La circulation devient de plus en plus dense, l’insécurité routière devient plus manifeste et le nombre d’accident par an est alarment. Les voiries urbaines, à cause de leurs étroitesses semblent être la cause de ces accidents.
Malgré les grands aménangements urbains et l’effort de l’Agence municipale des grands travaux du Burkina (AMGTB), certaines chaussées de la ville de Ouagadougou sont très étroites pour les usagés de certains quartiers.
C’est du moins le constat que le journal fasoamazone.net a fait sur la route nationale Numéro 3 (route de Nioko1). Cette voirie très étroite est l’une des principales routes d’entrée et de sortie de gros camions.
En plus, elle est beaucoup empruntée par les rivérains. Il est rare de de passer une journée sans qu’il y ait un accident sur cette voie. Dans la seule journée du 24 Août 2021, elle a enrégistré trois (03) accidents assez graves causant ainsi beaucoup de désolations au sein des rivérains.
En attendant que le gouvernement trouve une solution adéquate pour plus de sécurité routière, les riverains sont interpellés à respecter le code de la route et modérer leurs vitesses.
Ceux qui circulent avec des engins a deux roues, tout comme ceux qui roulent des véhicules légers et poids
Jeanne Z. Laya www.Fasoamazone.net
