« Les messages d’alertes, les interpellations, les cris de détresse de ces populations en proie à toutes les exactions de l’hydre terroriste depuis plus de trois ans semblent laisser de marbre>>.
Ce joug des terroristes de plus en plus exacerbé, le départ des Forces de défense et de sécurité (FDS) après le massacres des leurs à Di, les gendarmeries et les commissariats détruits à l’arme lourde, les lieux publics saccagés, les menaces et exactions…
la pression contenue due à l’absence de réactivité, le délaissement inexplicable de ceux sensés protéger les populations engendrent une véritable débandade des populations meurtries malgré la période des récoltes d’oignons et autres produits dans la Vallée du Sourou particulièrement et dans d’autres contrées en général.
Quelle passivité déconcertante face à la destruction de cette Vallée du Sourou, communément appelée le grenier du Burkina qui semble tomber définitivement sous la coupe de l’ennemi ».
Saran Sérémé dans l’obspaalga.com