Monsieur Édouard T. DIAPA, président de la Coalition des réseaux d’association burkinabè de lutte contre le VIH/ SIDA et la promotion de la santé, s’exprime sur la contribution inestimable des Organisations de la société civile ( OSC), à Faso Amazone net
Quelle est la nouveauté pour la 11 è édition de la journée des communautés
La nouveauté, ce sont des questions sécuritaires, que nous devons prendre en compte , réfléchir, trouver des solutions que nous appliquerons pour travailler, aidez l’état qui n’arrive plus à gérer les quelques communautaires. Accompagner l’état en prenant en charge propre santé ,dans les régions en difficulté.
En ce qui concerne les grandes maladies, endémiques, les pathologies, qu’elle est la contribution du CORAB ?
Quand ont prend la lutte contre le VID/ SIDA ya une avancée significative. Quand ont prends au niveau du palu, la tuberculose, surtout au niveau du palu, il ya pas une évolution significative comme ça. Comment impliquer la société civile,pour qu’ ensemble on puisse prendre la question de VIH SIDA comme le paludisme Implique la population, les civils pour qu’ ensemble ont puisse lutter contre le paludisme, pour minimiser, le nombre de décès , le nombre des cas de paludisme et du VIH SIDA dans nos pays. Ici nous avons fait venir des associations, venant des différentes régions telle que : Djibo , de Diapaga, et de Pama, qui sont avec nous ici, aujourd’hui qui représente quelques choses a nous. C’est d’accompagner l’effort faire par l’Etat, C’est la première chose la plus importante.
En ce qui concerne la sécurité, qu’elle a été votre contribution ?
’l’Etat peut pas être partout, et faut que nous mêmes, les acteurs de la société civile, nous prenons la relève, quand l’état n’est pas là que nous soyons là.
Nous mettons en place pour la sensibilisation de la population, à travers la prise en charge , a travers la distribution des médicaments. Comment nous allons travailler pour accompagner, le défi sécuritaire, ces tout simplement de sensibiliser la population. Que la population reste confiante, travaille en faveur de la population en quelques sorte.
Nous avons plaidé aussi , vous voyez dans nos hôpitaux en cas de maladie, si vous amène un malade, le premier acte c’est de te tendre une ordonnance Donc nous avons plaidé pour que ca soit le contraire .
Pourquoi avoir plaidé ?
Par exemple si tu est pauvre et tu amènes un malade à l’hôpital et ont te tende une ordonnance et tu dois aller à plus de 10 a 20 km pour demander de l’argent , a ton retour tu viendras trouver que ton malade est décédé.
À confié le président du CORAD, Édouard DIAPA
Irène Soulama