Dans le cadre de l’autonomisation économique des femmes, la ministre en charge du genre, madame Nandy Somé/ Diallo, a effectué une visite aux béneficiaires modèles du Fonds d’Appui aux Activités génératrices des Femmes(FAARF) le 27 juillet dernier à Bassinko, à Ouagadougou, elle s’est rendue à l’entreprise « ATTIÉKÉ YENNEGA » de dame Habibou Sankara.
De façon générale, il s’agit pour madame la ministre, d’effectuer des sorties pour visiter les activités génératrices de revenus des bénéficiaires qui se sont illustrées en modèles de réussite grâce aux crédits du FAARF.
De manière spécifique, cette visite terrain à pour but d’apprécier l’activité de la bénéficiaire; d’ encourager la bénéficiaire à partager son expérience aux autres femmes; de documenter la bonne pratique de la bénéficiaire modèle à travers une couverture médiatique; d’accroitre la visibilité de l’impact des crédits du FAARF.
C’est dans cette optique que la ministre en charge du genre, s’est rendue à l’Entreprise dénommée « Attiéké Yennenga », ppur visiter le site de dame Habibou SANKARA, la promotrice.
~ Nom de la promotrice: SANKARA Habibou : 71 58 58 32 / 79 35 60 20
~ Secteur d’activité: Transformation du manioc en attiéké;
Entreprise formalisée : 2021
~ Emplois générés: 73 employés;
Elle dispose de 3 sites répartis dans la province du Kadogo dont le principal site se trouve à Bassinko à environ 150m du goudron avant le péage sortie Nord.
Historique de la promotrice:
Cliente du FAARF depuis 16 ans (2007), Madame SANAKRA a débuté avec 50 000 francs CFA comme premier crédit au FAARF pour son AGR.
Depuis lors, à travers les bons remboursements, elle a bénéficié de 100. 000 FCFA, 200 000 FCFA et actuellement elle bénéficie d’un crédit de 3. 000 000 FCFA.
En termes de formalisation de l’activité, l’Entreprise dénommée « Attiéké Yennenga » a été formalisée en SARL en 2021.
Au regard de l’importance dans l’écoulement des produits de l’entreprise, le produit a été certifié norme de qualité ISO en 2023.
Du point de la production, l’entreprise produit plus de 60 sacs d’attiéké par jour. Un déchargement d’une remorque de la matière première est faite chaque semaine.
O. Nelessi
images photos HJB
