Soutien à la transition: « Faire de l’armée du Burkina Faso une puissance à craindre » Capitaine Ibrahim Traoré

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Le Palais des sports de Ouaga 2000, a servi de tremplin ce samedi 17 février 2024, au meeting de soutien à la transition. Des organisations de la société civile, regroupées au sein de la Coordination de la veille citoyenne patriotique et des chefs coutumiers venus des quatre coins du Burkina Faso, ont répondu présent à ce meeting de soutien à la transition.

D’entrée de jeu, l’Iman de la grande mosquée de Ouagadougou, Abdallah Ouédraogo a planté le décor en ces termes :  « Nous  sommes venus soutenir le président du Faso, et tous ses collaborateurs« Nous ne sommes pas venus ici en tant que religieux mais comme des enfants de ce pays ». …

C’était au tour du capitaine Ibrahim Traoré , accompagné de président de l’Assemblée nationale Législative (ALT), le Dr Ousmane Bougouma et d’une délégation gouvernementale, de faire son entrée aux environs de 11 heures sous des applaudissements et des ovations bien nourris à hauteur d’un président.
Comme à l’accoutumée, l’hymne national « le Ditanyè » a  été entonné par l’ensemble des  partisans pour marquer leur patriotisme.

Das son discours, le Capitaine Ibrahim Traoré, nous lançons un appel à tous les peuples de l’Alliance des Etats du Sahel(AES), de rester unis et solidaires , toute souffrance à une fin. La lutte La lutte que nous avons engagée est dure. Mais il faudra rester la tête sur les épaules, parce que l’arme fatale de l’impérialisme reste la manipulation à travers la communication, sachez reconnaître les esclaves de salon, à t’il dit.

Nous pouvons avoir cette indépendance tant sur le plan alimentaire que sur le plan industriel. C’est possible et nous sommes lancés sur le chemin. Donc les propos qui tendent à vous faire peur, à semer la panique, il faut s’en départir. On se mettra au travail et nous allons y arriver »,a invité le président IB.

« Dans les jours à venir, les mois à venir, ce que vous allez voir venir au Burkina Faso doit faire de notre armée une puissance à craindre »

«Je vous et je vous le répète. Tout pousse au Burkina Faso. On nous avait menti. Il n’y a pas à s’inquiéter. Plusieurs projets sont en train en 2024».

Koudolba

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